“Une étude vient de révéler qu’au Moyen Âge les membres du clergé avaient plus de risques d’être infestés par des parasites intestinaux que le reste de la population, pourtant plus pauvre et à l’hygiène plus rudimentaire”, rapporte The Guardian. Leur pratique du jardinage serait à blâmer : ils utilisaient probablement leur propre matière fécale pour fertiliser leurs cultures, estiment les chercheurs. Les œufs des parasites intestinaux se retrouvant dans les plantes pouvaient ainsi se frayer facilement un chemin jusque dans les estomacs des moines qui les consommaient, et ainsi de suite.
Les scientifiques, ont comparé la proportion de vers intestinaux sur la population qui vivait à peu près au même endroit et au même moment et on remarquer que le ratio de vers intestinaux étaient plus élevé chez les moines donc les moines soufrait plus des verres intestinales que leurs contemporains.